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string(82) "Impact Communication de Jamal Harouchi prend le contrôle de Fusion Digital Agency"
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string(1953) "L’agence Impact Communication, créée et dirigée par Jamal Harouchi, est devenue l’actionnaire majoritaire de Fusion Digital Agency, agence de communication digitale à Casablanca. La prise de contrôle s'est faite par une augmentation de capital réservée, avec apport en numéraire.
« Selon les projets de nos clients et attentes de tout annonceur, et dans une période disruptive caractérisée par une forte progression des investissements publicitaires dans le digital, nous avons comme rôle en tant qu’agence de communication d’offrir des prestations qui interviennent sur toute la chaîne de valeur de la communication, qu’elle soit offline ou online », précise Jamal Harouchi.
Impact Communication et Fusion Digital Agency continueront de fonctionner chacune de manière indépendante et autonome en termes de portefeuille clients, sans exclure une collaboration sur les projets nécessitant une synergie des deux métiers, à savoir la communication globale et la communication digitale, explique-t-on auprès d'Impact Communication.
Impact Communication, agence conseil en communication globale,a été créée il y a 16 ans par Jamal Harouchi. Elle propose à tous ses clients une offre sur toute la chaîne de valeur de la communication : conseil et planning stratégique, mise en oeuvre de campagnes de communication Média, Hors-Média et Web "avec une vraie réflexion à 360°, conseil et achat d’espaces média, identité visuelle, relations publiques et presse".
Fusion Digital Agency est un acteur oeuvrant depuis 6 ans dans le domaine de la communication digitale au Maroc et qui revendique une expertise dans la réalisation d’analyses et de stratégies digitales, la création de contenus à forte valeur ajoutée, et les prestations relatives à l’univers digital (achat média digital, développement d’applications et de sites web, community management et modération, etc.).
source : medias24.com"
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string(41) "Tv : 2M en tête du prime time du Ramadan"
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string(2321) "Selon une récente étude menée par MarocMétrie, la société chargée de la mesure de référence de l'audience de la télévision sur l'ensemble du territoire marocain, le taux d'audience pour les chaînes nationales durant la première semaine du mois sacré de Ramadan a enregistré une hausse de 75.9% contre 26% pour les chaînes internationales.
2M arrive en tête des chaînes marocaines les plus suivies. Lors du prime time 19h25 à 21h25, la deuxième chaîne nationale a couvert 52,2% de l'audience et 41,3 % sur l’ensemble de la journée. En 2016, le score du prime time était de 60% et en 2017, de 66%. En effet, c’est la caméra cachée « Mchiti Fiha 3 » qui accapare la part du lion. Elle a attiré 10,000 millions de téléspectateurs pour la seule journée du mardi 22 mai. Suivi par le feuilleton Samihini qui a rassemblé 7,530 millions de téléspectateurs le mercredi 23 mai.
Pour la première semaine de Ramadan 2018, Al Aoula a enregistré 13,6% sur l’ensemble de la journée et de 20,9% sur le prime time. L’année dernière, elle avait réalisé de très mauvais scores pendant le mois sacré, tombant quasiment à un niveau plancher: 6,4% l’année dernière. Le top 5 de la chaîne comprend la série « Wala Alik », « Derb », « Al caméra dahika », « Koullouna maa al oussoud » et l’émission « Al wajh al akhar ».
Pour rappel, MarocMétrie assure, depuis le 28 mars 2008, la mesure de référence de l’audience de la télévision au Maroc. Pour cela, le dispositif de l’établissement repose sur un panel de foyers, représentatif de la population marocaine urbaine et rurale, équipée en téléviseur.
source : mediamarketing.ma
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string(55) "Pub sur écran: La DGI dissipe le quiproquo sur la taxe"
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string(3719) "Ce droit de timbre concerne web TV, streaming et sites comme YouTube Il est appliqué aux pubs sur écrans cinéma et TV depuis les années 50 Les professionnels appellent à sa suppression pure et simple Un problème d’interprétation et de lecture du texte de loi. Dans une circulaire, la DGI a finalement clarifié le contenu de l’article 251 de la loi de finances 2018. Le document, rendu public cette semaine, explique que la presse électronique en général n’est pas concernée par la taxe d’écran (5%).
Ce droit de timbre s’applique en fait sur les revenus et factures relatives aux annonces publicitaires par diffusions télévisuelles et les diffusions internet qui utilisent les techniques modernes de télécommunications, selon la note explicative de la DGI. Sont donc concernés les web TV, le streaming et autres annonces publicitaires qui parviennent au public via les sites de diffusion vidéo comme YouTube. L’extension de cette taxe d’écran à d’autres supports comme la presse électronique, les écrans d’affichage, smartphones… n’est donc pas à l’ordre du jour.
Pour rappel, l’article 251 de la loi de finances stipule que «pour accompagner l’évolution de la technologie d’information et de communication, les droits de timbre relatifs à la publicité sur écran seront élargis à tous types de supports et non plus seulement les écrans de cinéma et de télévision» (cf. édition du 19 octobre 2017).
L’entrée en vigueur de cette mesure (basée sur un texte de loi pour le moins flou et imprécis) avait soulevé, rappelons-le, un tollé auprès des professionnels (annonceurs, éditeurs et agences de com). Ces derniers ont rencontré lundi 5 février le directeur général des Impôts pour lui exposer leur point de vue. Celui-ci réplique le lendemain en publiant une note explicative qui clarifie le texte de loi.
Mais la bataille continue pour la loi de finances 2019, selon les professionnels. «A partir du mois de mai prochain, nous allons nous mobiliser pour la suppression pure et simple de cette taxe», commente Maria Aït M’hamed, présidente de l’Union des agences conseil en communication (UACC).
Historiquement, les recettes liées à cette taxe devaient être reversées au Fonds de promotion de l’audiovisuel pour stimuler la production nationale. Depuis la suppression de la 1re tranche de cette taxe, de nouvelles dispositions sont venues capter les ressources du secteur et ont permis de redynamiser le secteur audiovisuel et contribuer à son développement.
Il s’agit notamment de la taxe pour la Promotion du paysage audiovisuel national (TPPAN) qui contribue bien plus efficacement aux recettes de l’Etat que ne le fait la taxe d’écran (à peine 50 millions de DH). De même, le secteur publicitaire finance, depuis 2008, sur ses fonds propres et dans le cadre d’un Groupement d’intérêt économique (GIE), le Ciaumed et le Cirad, les dispositifs de mesure d’audience de la télévision et de la radio au Maroc.
source : leconomiste.com
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