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string(84) "Consensus relatif à une sauvegarde moderne et complète des archives audiovisuelles"
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string(7269) "Le séminaire international sur «La conservation des archives audiovisuelles, patrimoine et mémoire collective», organisé récemment à Skhirate, sous le Haut Patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, par la Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA), en partenariat avec le Réseau francophone des régulateurs des médias et la HACA de Côte d’Ivoire, a débouché sur un consensus national relatif à une sauvegarde moderne et complète de ce précieux patrimoine de la mémoire collective des Marocaines et des Marocains.
Les exposés et débats animés tout le long de ces deux jours se sont déroulés à un rythme soutenu, durant plus de dix heures d’échanges, en présence de plus de 120 participants et participantes, dont la majorité venait d’Europe et d’Afrique, représentant 45 instances de régulation, des organisations internationales (Unesco, Organisation internationale de la francophonie, OIF), des institutions spécialisées (Institut national de l’audiovisuel, INA)… La totalité des médias audiovisuels nationaux, les radios et les télévisions, en plus du Centre cinématographique marocain (CCM), représentés par leurs premiers responsables, ont été au centre des apports de ces journées. Alors que des expertises et des expériences venant de France (INA) et du Canada (Radiotélévision publique, «ICI Radio Canada»), ont permis des échanges d’ordre technique avec les cadres et les techniciens en charge de nos archives audiovisuelles au CCM, à la HACA et dans nos différents médias nationaux ainsi qu’avec les délégations des instances de régulation des pays africains, membres du REFRAM (Réseau francophone des régulateurs des médias) que préside Ibrahima SySavané, également président de la HACA de Côte d’Ivoire et ex-ministre de la Communication. Sont intervenus également à la tribune, le représentant de l’Unesco au Maghreb, Khaled Salah, les représentants de l’OIF, Bertrand Levant, Pierre Barrot, Jean François Furnemont, les représentants de l’INA, Éric Rault, Mmes Christine Braemer et Marion Jacquemin, le représentant de Radio Canada, Patrick Monette, ainsi que l’expert, ex-secrétaire général de l’ACCT (devenue OIF en 2005), l’historien canadien Jean-Louis Roy, auteur d’une grande enquête mondiale sur la diversité culturelle parue en janvier dernier : «Bienvenue dans le siècle de la diversité, la nouvelle carte culturelle du monde».
À noter aussi que la participation marocaine comptait également de fortes délégations, celle de la Bibliothèque nationale, conduite par Driss Khrouz, celle des Archives du Maroc, conduite par Jamaa Baïda, celle de la Gendarmerie royale, et des délégations de responsables et d’enseignants de l’ISIC, de l’ISMAC et de l’ESI. Le Conseil national des droits de l’Homme était représenté par son secrétaire général, Mohamed Essabbar.
Menant ces travaux comme un conclave visant à ériger la sauvegarde des archives comme une priorité nationale pour tous les pays représentés, la HACA a retenu pour ce chantier, ouvert pour la première fois tant au Maroc qu’à l’échelle multipartite du REFRAM, deux objectifs principaux : développer un fort plaidoyer à l’adresse des décideurs politiques et des médias concernés, interrogeant, à l’occasion, les politiques publiques concernées ou à promouvoir ; mener une profonde réflexion sur les meilleurs choix à recommander en matière de systèmes d’archivage, de modes de gestion de ces fonds, et des contenus de formation à déployer au profit des responsables qui en ont la charge de conception, de gestion et d’exploitation. Ces orientations, explicitées dans leurs interventions d’ouverture par la présidente de la HACA Maroc, Amina Lemrini El Ouahabi et Ibrahima SySvané, président du REFRAM et de la HACA Côte d’Ivoire, ont été déclinées sur différents panels, dont un animé exclusivement par les acteurs nationaux : Fayçal Laraïchi pour la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), Sarim Fassi Fihri pour le CCM, Salim Cheikh pour la Soread 2M, Othman Nejjari pour Medi1 TV et Khalid Belyazid représentant l’Association des radios privées, l’ARTI.
C’est au cours de ce panel qu’a été dégagée la perspective, à la fois mobilisatrice et réaliste, proposée par le PDG de la SNRT : lancer une plateforme nationale qui, grâce à la numérisation et une connectivité performante, pourrait non seulement sauvegarder et moderniser nos archives audiovisuelles éparpillées entre diverses institutions, avec des risques avérés à ce jour, qui diffèrent d’un fonds à un autre, mais permettrait aussi de rendre accessible, vite et efficacement, tout ce patrimoine aux citoyens, aux professionnels, aux créateurs, aux chercheurs, avec des possibilités d’exploitation différenciées et même génératrices de revenus pour les dépositaires. Sans oublier les possibilités d’échanges et de coopération entre les détenteurs de ces fonds, à des fins de programmation ou de création. Cette perspective, si elle nécessite une décision d’ordre réglementaire ou législatif, somme toute aisée à entreprendre, et des concertations d’ordre institutionnel, elle dépend fondamentalement, pour sa concrétisation, d’une mobilisation volontariste de tous les concernés et demande à être confortée par une volonté politique et une politique publique acquises à ce but ultime. Elle nécessitera également une importante ingénierie nationale de formation et de recrutement de ressources humaines hautement qualifiées dans les systèmes d’archivage qui sont sans cesse en évolution du fait des progrès et des innovations continuels du numérique.
Source : lematin.ma
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string(103) "Renforcer le rôle des médias dans la promotion des engagements du Maroc en matière de droits humains"
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string(6379) "Le rôle des médias nationaux dans la promotion des engagements internationaux du Maroc dans le domaine des droits de l'Homme" a été le thème d'une journée d'étude, organisée samedi à Marrakech par la délégation interministérielle aux Droits de l’Homme (DIDH) au profit des professionnels des médias nationaux. S’exprimant à l’ouverture de cette rencontre, le délégué interministériel aux droits de l'Homme, Mahjoub El Hiba, a indiqué que cette journée d’étude, organisée en partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et les agences accréditées des Nations unies au Maroc, permet aux différents acteurs de s’approprier le système onusien des droits de l’Homme en ce qui concerne les normes et les mécanismes de monitoring des droits de l’Homme, à savoir les organes de traité, les procédures spéciales du Conseil des droits de l’Homme et l’examen périodique universel (EPU).
"L’objectif étant de permettre aux médias de s’approprier le caractère des systèmes onusiens des droits de l’Homme et les droits qui leur sont garantis par ces instruments internationaux et mécanismes onusiens en la matière", a-t-il noté.
El Hiba a aussi signalé que la DIDH, qui avait déjà organisé des sessions de formation et des journées d’étude destinées aux départements ministériels concernés, ainsi qu’aux parlementaires, lance aujourd'hui une série de formations dans le domaine des droits de l’Homme pour les organes médiatiques, concernant notamment la presse écrite, électronique et l’audiovisuel.
Quant à la représentante résidente adjointe du PNUD au Maroc, Ayshanie Medagangoda Labe, elle a salué l’approche "exemplaire" du Royaume dans l’élaboration de rapports intermédiaires dans le domaine des droits de l’Homme, ajoutant que le pays a entrepris plusieurs mesures pour améliorer la situation des droits de l’Homme dans le pays.
Elle a aussi précisé que la rencontre permet d’élargir le champ de concertation autour des mécanismes d’EPU, ainsi que les pratiques conventionnelles en relation avec les organes de traité.
S’exprimant par la même occasion, Abdelkabir Akhchichine, membre du bureau exécutif du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a fait savoir que les médias nationaux ont depuis toujours contribué de manière concrète à la campagne de sensibilisation aux droits de l’Homme au Maroc, en s’appropriant les mécanismes des organismes internationaux des droits de l’Homme.
Akhchichine a aussi noté que la SNPM, en tant qu’organe syndical, œuvre en faveur de la capitalisation des acquis enregistrés dans le domaine des droits de l’Homme, à travers notamment le renforcement des mécanismes de contrôle et de détection des différentes formes de violation de ces droits.
Il a aussi relevé que les acteurs médiatiques participant à des rencontres similaires s’informent davantage sur les mécanismes et processus du travail des organismes internationaux des droits de l’Homme et exercent, par conséquent, leur métier avec un grand professionnalisme au service de la société civile.
Pour sa part, la représente de l’association des lauréats de l'Institut supérieur de l’information et de la communication (ISIC) s’est félicitée de cette rencontre qui constitue une occasion idoine pour les professionnels médiatiques d’informer et de s’informer sur les questions des droits de l’Homme, tout en menant un dialogue riche qui partage et respecte les différentes visions.
Elle a de même jugé nécessaire d’inviter les organes médiatiques aux différents débats qui traitent des droits de l’Homme de manière à ancrer une culture responsable et commune en la matière.
Cette journée d’étude s’inscrit dans le cadre de l'approche participative adoptée par la DIDH et sa volonté d'associer les médias nationaux à ses activités, et ce dans le but de leur permettre de maîtriser les contenus des conventions internationales ratifiées par le Royaume et des engagements y relatifs.
Cette rencontre, qui connaît la participation d'un grand nombre de journalistes de différents médias, vise le renforcement du processus de consultation nationale pour l’élaboration du rapport national relatif au troisième cycle de l'EPU, en se focalisant sur le suivi de la mise en œuvre des différentes étapes des engagements internationaux du Maroc se rapportant aux mécanismes onusiens des droits de l’Homme.
La DIDH est une structure gouvernementale chargée de l’élaboration, de la coordination, du suivi et de la mise en œuvre des politiques publiques dans le domaine des droits de l'Homme. Elle veille également à la mise en œuvre des engagements conventionnels relatifs à l’élaboration des rapports et à l'interaction avec le système des Nations unies des droits de l'Homme, à travers une approche participative visant l'implication des différents acteurs concernés par les droits de l’Homme.
Source: www.libe.ma
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string(63) "LE SOMMET DU DIGITAL AFRICAIN SE TIENDRA BIENTÔT À CASABLANCA"
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Sur le continent, la révolution digitale est bel et bien en marche. La toisième édition dédiée au numérique en Afrique, les 1er et 2 décembre, et là pour le prouver. Les détails.
La troisième édition de l'African Digital Summit (ADS) aura lieu à Casablanca les 1er et 2 décembre. Cette grand-messe continentale du digital réunit les annonceurs, marketeurs, professionnels du digital, éditeurs, agences de communication et média du Maroc, d'Afrique et d'ailleurs, précise Aujourd'hui le Maroc dans son édition du 23 novembre.
Pour cette édition 2016, Mounir Jazouli, président du Groupement des annonceurs marocains (GAM) et fondateur de l'ADS, annonce qu'un “espace Innovation Digital Garden permettra de mettre en contact les annonceurs/marques et des start-up et acteurs technologiques offrant des solutions innovantes pouvant servir les stratégies digitales et marketing. Des trophées, les Moroccan Digital Awards, seront également décernés par le GAM aux meilleurs dispositifs digitaux et aux marques les plus digitalisées au Maroc avant de couvrir tout le continent dans un deuxième temps”.
Plus de 1.000 professionnels du digital et une trentaine de speakers de haut niveau, originaires d'une vingtaine de pays d'Afrique et d'ailleurs, sont attendus pour cette 3e édition. L'occasion d'améliorer les relations entre les différents acteurs, d'initier des projets innovants, de contribuer au développement des écosystèmes du digital sur le continent et, bien sûr, de mettre en avant les tendances et les nouvelles stratégies marketing.
Cette 3e édition sera aussi l'occasion de connaître les résultats de la 3e édition de l'étude annuelle pour faire l'état des lieux et identifier les tendances des pratiques digitales du côté des annonceurs.
Parmi les invités en guest, Michel Juvilier, Badr Ward, David Mathison, David Okeme, Brian Honigman ou encore Thebe Ikalefeng.
Par nbsp;Sanae El Asrawi
Le 360
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string(46) "Plf 2017: 350 mdh pour la snrt, 50 mdh pour 2m"
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string(2613) "Le projet de Loi de finances 2017 précise le plan d’investissement du pôle audiovisuel public. L’enveloppe globale est estimée à 400 millions de DH. Les détails.
En l’absence du contrat-programme du secteur de l’audiovisuel public, le projet de budget de l’Etat pour 2017 prévoit une subvention. Cette enveloppe est ainsi débloquée de manière non contractuelle.
En effet, le contrat-programme annoncé par l’Etat en 2012 n’a toujours pas été élaboré et croupît toujours dans les tiroirs du ministère de la Communication.
Ainsi, le projet de loi de Finances 2017, fixe pour la SOREAD 2M un plan d’investissement d’un montant de 50 millions de DH. Ce budget est destiné au financement des équipements de post-production, de transmission, de lumière et du réseau des fréquences radio.
Ce plan d’action prévisionnel comprend également les frais engendrées pour la chaine de Aïn Sebaa, pour la poursuite progressive de l’application du nouveau cahier des charges de la société et de la rationnalisation des charges. Il concerne aussi l’enrichissement de la grille des programmes, le renforcement de la stratégie digitale, l’amélioration des parts d’audience, et le soutien à la production nationale.
Quant à la SNRT qui chapote le paysage audiovisuel public (PAPU), elle bénéficie d’un budget d’investissement supérieur à celui de la SOREAD 2M.
Selon les chiffres publiés dans le texte du projet de loi de Finances 2017, les prévisions du plan d’investissement sont évaluées à 350 millions de DH. Ce budget est destiné principalement aux équipements du réseau de transmission et de diffusion par satellite à la télévision et à la radio.
A l’instar de 2M, la SNRT prévoit de déployer en 2017, une stratégie numérique pour répondre aux attentes du large public face aux grandes mutations numériques et la pression de la consommation des médias numériques.
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string(25) "Kitea change de signature"
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string(2402) "Les grandes marques se réinventent toujours. C'est le cas pour KITEA, leader marocain du meuble et accessoires de Maison et de Bureau, qui répond à un marché en pleine mutation avec une nouvelle signature « KITEA, et tout prend vie !"pour la version française et celle en Arabe »KITEA wa tahla al hayat!"
On le sait, les valeurs de KITEA sont la diversité de l’offre, des styles, l’accent mis sur la qualité, le choix, le meilleur prix, le sens du service gratuit, la proximité. Depuis 23 ans, KITEA, marque marocaine, jouit d'une expérience marché qui lui aura permit d'accumuler un capital confiance, une connaissance des habitudes des consommateurs telle, qu'aujourd'hui, la marque peut se prévaloir d'être partie prenante de la vie des marocaines et des marocains dans leur diversité, leur différence et leur richesse.
Forte de cette confiance, KITEA est depuis 23 ans un acteur clés de l’économie marocaine. Par ses investissements (Kitea Géant), ses développements en Afrique, ses innovations (praticité, simplicité, accessibilité, service gratuit), ses partenariats avec l’industrie locale, sa capacité d’emploi directs et indirects, KITEA a accompagné les marocains dans leurs nouveaux espaces et leur besoin de s’équiper au meilleurs rapports qualité prix. Présente dans les étapes de vie de chacune et chacun (enfant, jeune, moins jeune, famille, professionnel, etc.), au cœur des envies multiples et des diversités, KITEA offre l’accès à la modernité dans le respect de ce que l’on est, de nos valeurs et traditions.
Cette signature renvoie à l'idée qu’un Espace Professionnel ou une Maison vit, ne cesse de vivre, doit vivre, et que le rôle d'une marque comme KITEA est de le ou la "remplir de Vie" au gré des goûts de chacun. Ce qui est, tant par les valeurs d'usage que la dimension symbolique, le cœur du métier de la marque KITEA, leader du meuble et aujourd'hui, "Love Brand Marocaine" .
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string(81) "Wafaassurance primée meilleure création publicitaire pour le secteur assurances"
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string(434) "Suite à un événement organisé en présence de la presse nationale le 10 Mars 2016 , Le prix de la meilleure création publicitaire a été décerné à Wafa assurance pour le secteur des assurances- année 2015
Nous félicitons toute l'équipe communication pour cette distinction amplement méritée
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