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«Les missions de la HACA s’inspirent de la Constitution et des processus de réformes engagées par le Royaume. Nous intervenons d’une manière indépendante sur la question du pluralisme politique, de pensée et d’opinion ainsi que la diversité culturelle, linguistique et sociale», a souligné Amina Lemrini, présidente de la HACA (Ph YSA).

La 1re rencontre des régulateurs africains et ibéro-américains de l’audiovisuel s'est achevée le 18 mars à Fès. De l’avis général, cette manifestation, qui a débuté le 16 mars, a été un succès. En témoigne la présence de grandes personnalités de 18 pays africains et 9 pays ibéro-américains, dont notamment Oscar Reyes, président du CNTV du Chili et président de la Plateforma de reguladores del secteur audiovisual de Iberoamerica (PRAI), Kwasi Gyan Apeteng, président du NMC du Ghana et du Réseau des instances africaines de régulation de la communication (RIARC), et Amina Lemrini Elouahabi, présidente de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA).

Tout ce beau monde a participé à l’élaboration de la déclaration de Fès, lançant ainsi la coopération inter-réseaux RIARC-PRAI. Celle-ci est un appel à la prise de conscience des enjeux et des défis majeurs communs, ayant trait notamment au renforcement du cadre juridique et institutionnel de la régulation, à la transition numérique, à la régulation des médias en période électorale, à la promotion de l’égalité des sexes dans les médias et par les médias, et à la protection du jeune public. Parmi leurs priorités figurent également l’éducation aux médias et la lutte contre les discours de haine et du racisme «devant être érigés en priorités de notre coopération et au sein d’instances partenaires», disent-ils. L’objectif étant de développer des synergies, tirer parti de la richesse qui réside dans la diversité des systèmes d’appréciation, et définir, ensemble, les actions d’une coopération commune, durable et fructueuse.

En tout cas, la rencontre de Fès a créé une véritable plateforme d’échanges, de débats et de pédagogies, tendant vers la co-régulation et l’autorégulation. «La liberté est un apprentissage, la démocratie aussi. Il faut à la fois être rigoureux, mais aussi pédagogue pour accompagner les médias», souligne Lemrini. Dans l’appel de Fès qu’elle a lancé, avec les représentants du RIARC et de la PRAI, cette dernière a insisté sur la consolidation des capacités institutionnelles et opérationnelles de régulation des médias et la promotion de l’échange d’expertise et d’information entre les instances de régulation africaines et Ibéro américaines. Et ce, au regard des évolutions technologiques et des défis de la société de l’information.

La déclaration de Fès vise, par ailleurs, à consolider et à favoriser les différentes dimensions de la coopération Sud-Sud, à élargir et diversifier les relations d’amitié et les rapports et échanges culturels, scientifiques et techniques entre les instances membres des deux réseaux. Ces derniers s’engagent à promouvoir les meilleures pratiques, particulièrement dans le domaine de la régulation de la communication audiovisuelle, dans le respect des règles nationales et internationales. «Nous érigeons le respect et la promotion des droits de l’Homme, de la dignité humaine, des valeurs de diversité, d’égalité, de parité, dans le respect de la liberté d’expression, comme des directeurs intangibles de notre action commune au service du développement de nos sociétés et de la consolidation et le renforcement de notre démocratie», indiquent-ils.

Enfin, face aux évolutions du secteur de la communication audiovisuelle, les régulateurs insistent sur la nécessité de développer des synergies, de tirer parti de la richesse qui réside dans la diversité de leurs systèmes d’appréciation, et de définir, ensemble, les actions d’une coopération commune, durable et fructueuse. Pour eux, il y a des enjeux et des défis majeurs communs à relever. Surtout, ceux ayant trait au renforcement du cadre juridique et institutionnel de la régulation, à la transition numérique, à la régulation des médias en période électorale. «La promotion de l’égalité des sexes dans les médias et par les médias, la protection du jeune public,  l’éducation aux médias et la lutte contre les discours de haine et du racisme devant être érigés en priorités de notre coopération et au sein d’instances partenaires», conclut la déclaration de Fès.

Source : L'Economiste

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C'est ce qu'il ressort du rapport réalisé par la Haute autorité de la communication audiovisuelle (Haca), dans le cadre du projet GMMP 2015 (Global media monitoring project).
Ce pourcentage inscrit le Maroc dans la catégorie où les femmes sont les moins présentes dans les news, même s'il est en avance sur la moyenne moyen-orientale (16%)", précise ce rapport intitulé "Qui fait l'info" et présenté, lundi 13 mars à Rabat.
Cette étude qui répertorie les changements observés quant aux dimensions de genre dans les médias d’information, a été réalisée sur la base de la démarche adoptée mondialement dans le cadre du GMMP 2015.
Le monitoring a concerné au niveau national quatre chaînes de télévision généralistes (3 publiques et une privée), six radios (une publique et 5 privées), sept titres de presse papier et trois sites de presse électronique, durant la journée du 25 mars 2015.
Les médias peuvent mieux faire
Par domaines d’activité, les femmes sont plus visibles, par rapport aux hommes, dans les statuts indéfinis (54%) et en tant que parent ou en rapport avec le foyer (50%), relève le rapport. Quand elles sont identifiées, elles le sont plutôt dans la catégorie "célébrités artistiques", littéraires ou médiatiques (75%) ou en tant qu'activistes et militantes de la société civile  (38%).
En tant qu’employées du gouvernement ou fonctionnaires, elles sont visibles à 25% et en tant que membre du gouvernement à raison de 14%, alors que dans le domaine des affaires, elles sont visibles à 17%. Dans les fonctions d’expertes, chercheuses ou juges et avocates ou dans les fonctions sécuritaires (police, armée), elles sont complètement absentes.
Concernant la présence des hommes et des femmes en tant qu’acteurs de nouvelles, le rapport précise que les femmes représentent 46% alors que les hommes 54%, tous métiers confondus (journalistes, présentateurs/présentatrices et reporters).
Par ailleurs, les femmes représentent 55% des présentateurs, tous supports confondus, et 37% des reporters, et seulement 22% dans la presse.
 Plus de présence dans le social. 
Cette étude a démontré que les femmes traitent majoritairement des thèmes liés au "social et juridique" (52%), suivi de "l’économie" qui représente 14%. Les trois autres grands thèmes "politique et gouvernement ", "science et santé" et "célébrités, arts, médias et sports" sont à la même proportion de 10%. Le thème minoritaire pour les femmes est la "criminalité et violence".
Quant aux hommes, ils traitent de tous les thèmes suivant une répartition assez homogène: 29% pour le "social et juridique", 21% pour le "politique et gouvernement", 16% pour "l’économie" et "criminalité et violence" et, enfin, 8% pour "médias, arts et sports".
Ce rapport a été présenté lors d’une rencontre organisée par la Haca, qui a été marquée par la signature d’une convention pour la promotion de la culture de l’égalité hommes-femmes dans et à travers les médias entre la Haca, ONU femmes et l'Unesco.
Le Projet mondial de monitorage des médias (GMMP) constitue l’initiative de recherche et de revendication en faveur de l’égalité des genres dans et par les médias d’information la plus constante et la plus vaste au monde. Tous les cinq ans depuis son lancement en 1995, le GMMP répertorie les changements observés quant aux dimensions de genre dans les médias d’information.

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Selon le président du conseil de la ville de Casablanca, près de la moitié des espaces d’affichage publicitaire casablancais sont dans la clandestinité.
Invité de l’émission « An Korb », diffusée sur la Web-TV du Parti de la justice et du développement (PJD), le président du conseil de la ville de Casablanca Abdelaziz Omari a révélé que près de la moitié des panneaux d’affichage de la capitale économique ne sont pas déclarés.
« Le conseil de la ville a inventorié l’ensemble des panneaux publicitaires se trouvant dans la ville, avec l’aide d’un bureau d’études. On a trouvé que seulement 50% des panneaux sont déclarés, alors que la moitié est non identifiée », a-t-il déclaré.
Selon le maire de Casablanca, le conseil de la ville a organisé des réunions avec les annonceurs afin de mettre fin à cette pratique clandestine.
Lors de son passage dans l’émission, Abdelaziz Omari a également indiqué que la conseil de la ville a inventorié l’ensemble des terrains casablancais non construits.

Source : www.2m.ma

 

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Marocmétrie change de directeur exécutif. Younes Alami quitte l’entreprise de mesure d’audience télé créée en 2008. Exclusif.

Younes Alami, le directeur exécutif de Marocmétrie quitte l’entreprise de mesure d’audience télévisée la fin du mois, a appris le360 de source sûre. Ainsi, celui qui était à la tête de cette boite, filiale marocaine de Médiamétrie France, depuis sa création en 2008, sera remplacé par Rachida Naitiaz l’ancienne directrice des systèmes d’information.
 
Contacté par nos soins, le principal concerné, pris visiblement de court répond: «Je réserve ma réponse pour la semaine prochaine». Ainsi, Younes Alami n’a ni confirmé ni infirmé et tient à attendre son départ pour annoncer la nouvelle.

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MÉDIAS- Bonne nouvelle pour les 15-35 ans: la radio française NRJ débarque très prochainement au Maroc. Directeur général de NRJ Maroc, Hakim Chagraoui a pour ambition d'en faire LA référence musicale du web. Bye bye la fréquence FM, bonjour l'ère 2.0, à l'heure où la plupart des jeunes sont quotidiennement connectés.

NRJ Maroc sera en effet diffusée uniquement sur Internet et via son application mobile. Après presque deux années passées à négocier avec la marque française et à étudier le paysage radiophonique marocain, Hakim Chagraoui a réussi son pari et obtenu que la radio ne soit lancée que sur le net.

Baptême du feu pour la web radio lors de sa soirée de lancement. Un grand concert ouvert au public et gratuit sera organisé le 25 mars prochain à Casablanca, dans un lieu pour l'instant tenu secret. Zaho, Vitaa, Ridsa, Souf et DJ Feder ont d'ores et déjà confirmé leur présence sur scène. Aux manettes de la soirée, Sébastien Cauet, l'animateur vedette de NRJ France, sera présent pour animer le show.

Un modèle économique alternatif

"Dans les cinq prochaines années, notre objectif est de créer une centaine de web radios, toutes franchisées NRJ Maroc", se félicite le patron de la future web radio. "Ce panel de 100 web radios servira essentiellement à élargir l'offre que nous proposons, en déclinant tous les genres musicaux. Car aujourd'hui, on doit laisser le choix à l'auditeur", précise Hakim Chagraoui.

Peu séduit par la FM, le directeur général de NRJ Maroc explique que l'évènementiel représentera par ailleurs une part non négligeable du modèle économique de la web radio. "Nos principaux revenus seront générés par les évènements que nous organiserons", déclare Hakim Chagraoui au micro du HuffPost Maroc. Pour la première année de NRJ Maroc, une quinzaine de concerts seront ainsi prévus dans tout le Maroc.

Nous sommes allés visiter les futurs studios de NRJ Maroc à Casablanca, où nous avons rencontré Hakim Chagraoui, patron de la web radio.

 

source : huffpostmaghreb.com

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Autrefois opposés, les mondes du luxe et du digital ont fini par se rejoindre. Aujourd’hui, le marketing du luxe n’hésite plus à user des outils du web.

C’est une histoire d’amour qui vient de loin. D’un côté, une industrie qui mise sur la rareté et l’exception ; de l’autre, le monde du web, un marché de masse nourri d’actualité, de transparence et de gratuité, le lieu des bonnes affaires et du tout-public. Deux univers que tout opposait, et qui sont pourtant devenus complémentaires par la force des choses. De sorte que le luxe digital n’est plus un oxymore, mais une puissante association marketing.

Les 3 grandes ères du marketing du luxe digital

Il est vrai que les valeurs de l’un et de l’autre semblaient jusque-là contradictoires. Le marketing du luxe s’est toujours appuyé sur des sources considérées comme « plus sérieuses » que le web cynique et caricatural. Il suffit d’ailleurs de tourner les pages des magazines d’actualité dans la salle d’attente du docteur pour se rendre compte que les publicités du luxe sont encore l’apanage de la presse papier.

Or, depuis quelques années, une histoire d’amour est en train de prendre corps. Malgré des fiançailles orageuses et de longue durée, le luxe et le digital ont fini par convoler en juste noces, ainsi qu’on peut le lire dans cet article. Trois périodes clés ont marqué ce rapprochement :

  • Le luxe digital 1.0, de 2000 à 2005. C’est l’époque du e-commerce. Hermès, Tiffany, Burberry, Gucci sont parmi les premières marques de luxe à se lancer dans la vente en ligne.
  • Le luxe digital 2.0, de 2006 à 2010. C’est l’époque de la communication sur les réseaux sociaux.
  • Le luxe digital 3.0, à partir de 2011. C’est l’époque de l’e-marketing, quand les maisons du luxe placent le marketing numérique au sein de leur stratégie de vente, sans pour autant prêter le flanc à la moindre accusation de transformer leur business model en direction du grand public.

Le constat est clair : la digitalisation du luxe est en cours. En 2015, selon l’Observatoire de la digitalisation des marques du luxe, le digital a pesé 6 % dans le chiffre d’affaires des marques du luxe. Et les experts estiment que ce chiffre devrait tripler d’ici à 2020.

 

Comment le luxe s’est approprié les outils du digital

Qu’on ne s’y trompe pas, pour autant : le digital n’a pas absorbé le luxe. D’une certaine manière, c’est l’inverse qui est en train de se produire. Le luxe s’est approprié le digital et ses possibilités comme des outils parmi d’autres pour se faire mieux connaître des consommateurs et améliorer la relation entre leurs produits et leurs clients.

C’est en optimisant ce qui fait l’essence du luxe – la relation client élevée au niveau de l’exceptionnel – que le digital apporte sa pierre à l’édifice. Le numérique permet au monde du luxe :

  • D’accélérer l’enregistrement et la livraison des commandes ; certaines marques proposent par exemple de vérifier en ligne, en temps réel, la disponibilité d’un produit en boutique.
  • S’appuyer sur la géolocalisation pour aider la clientèle à repérer les boutiques ou les services annexes (par exemple les lieux où il est possible de déposer ses capsules Nespresso après usage).
  • Développer la relation client à distance : Longchamp propose notamment à sa clientèle d’entrer en communication avec un conseiller, afin d’être accompagné lors du processus d’achat en ligne. De leur côté, Cartier, Gucci et Vuitton prennent soin d’entretenir un service personnalisé avec leurs clients, via une assistance téléphonique ou mail, ou par la planification de rendez-vous en boutiques.

Par digital, il ne faut pas entendre uniquement internet et les réseaux. Il s’agit également de solutions qui se déploient au sein même des boutiques afin d’améliorer l’expérience client. Chez Nespresso, par exemple, outre les traditionnels services en caisse, le consommateur a la possibilité de payer ses achats directement sur une borne automatique, qui pèse le sac et détermine toute seule quels paquets de capsules s’y trouvent.

De sorte que l’une des grandes valeurs véhiculées par le luxe depuis des décennies, la notion de liberté, a été renforcée par le mariage avec le digital.

Les sites et les blogs liés au luxe : un tremplin marketing inestimable

En amont du service proprement dit, il y a une étape essentielle : la préparation de l’achat. Selon une étude menée conjointement par Albatross et 1000mercis, et publiée en octobre 2015, les avis glanés en ligne comptent désormais pour 30 % des incitations à l’achat dans le domaine du luxe, contre 8 % en 2014. Soit une augmentation de 24 % en un an ! S’il est vrai que l’expérience en boutique reste fondamentale pour les consommateurs, avec ce qu’elle implique d’attentes en termes de courtoisie et d’expertise, il semble donc qu’un nombre croissant de clients du luxe préparent leurs achats bien en amont en surfant sur internet.

Entrons dans le détail. Toujours selon cette étude, 56 % des consommateurs européens de produits de luxe privilégient les canaux digitaux comme sources d’information avant un achat. L’acte d’acquisition lui-même reste encore majoritairement attaché à la boutique physique : 75 % des clients qui se renseignent en ligne concluent leurs emplettes dans les magasins, et notamment dans les boutiques mono-marques.

Par canaux digitaux, on entend tous les supports en ligne sur lesquels peut s’exprimer une marque. Son site internet dédié, bien entendu ; les réseaux sociaux ; mais également les sites et les blogs des passionnés, qui contribuent à optimiser considérablement la visibilité des produits, et par là, à soutenir le marketing du luxe. Chronotempus pour les montres ou Needsandmoods pour les produits de beauté sont des vitrines d’informations qualitatives que les acheteurs plébiscitent et que les marques n’ignorent plus.

Ces blogs, parce qu’ils sont devenus petit à petit des leaders d’opinion et qu’ils génèrent une audience importante, ont progressivement été sollicités par les marques pour parler de leurs produits. Il ne s’agit pas de vulgaire placement de produits, mais d’une bonne entente entre de grandes maisons, qui veulent accentuer leur présence sur la Toile, et des blogueurs exigeants qui en profitent pour exprimer tout leur amour pour une marque.

Enfin, les réseaux sociaux permettent aux marques de diffuser auprès des consommateurs des informations sur leurs nouveaux produits (59 % des clients du luxe suivent l’activité des marques sur ces réseaux) ainsi que des promotions (regardées de près par 31 % d’entre eux). Mais leur vrai pouvoir n’est pas dans la simple newsletter. Les réseaux sociaux sont une source de prolifération des photographies et des vidéos de célébrités qui promeuvent, plus ou moins volontairement, les produits de luxe. De la même façon qu’une montre Omega au poignet de James Bond au cinéma peut faire bondir les ventes en magasin.

En conclusion : luxe aeterna

L’enjeu du mariage entre le luxe et le digital est double. Dans un premier temps, l’univers du luxe améliore sa relation client auprès des consommateurs traditionnels de la marque, en leur proposant toutes sortes de services et en les chouchoutant. C’est l’objet des caisses automatiques chez Nespresso : ce système ne vous incitera pas à acheter une machine et des capsules si vous n’étiez pas déjà client, mais il améliore grandement l’expérience d’acquisition si vous êtes membre du club.

Dans un second temps, le marketing du luxe prend appui sur les outils du digital afin d’élargir son audience et de toucher un public plus jeune – les digital natives – qui a l’habitude de consommer en ligne. Et pas seulement plus jeune, mais aussi éloigné géographiquement : ainsi, il n’aura pas échappé aux marques que les clients asiatiques du luxe sont, à 60 %, hyperconnectés, qu’ils passent leur temps sur les sites internet et les réseaux sociaux à glaner des informations, et qu’ils viennent acheter après s’être minutieusement renseignés.

Le bénéfice d’une présence accrue sur le web est inestimable. Un jour ou l’autre, les marques le savent, les acheteurs numériques auront remplacé les clients attachés à la transaction physique. Et l’avenir, c’est aujourd’hui que ça se prépare.

Eric Nuevo

blog.businessdecision.com

 

 

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